La SBIF est la première des SGI au Burkina, Elle opère dans tous les domaines classiques des banques d’affaires et dispose d’une expérience accrue sur le marché ouest-africain. Elle a déjà conduit plusieurs introductions en bourse et de façon récurrente assure le placement d’actions et d’obligations sur le marché primaire.
La SBIF offre de nombreux services
Investissement
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Achat/vente d’actions, obligations et TCN
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Conservation/garde de titres
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Conseil et gestion de portefeuille
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Conseil et gestion de patrimoine
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Analyse de rentabilité
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Vente de Participation à des Fonds d'investissement
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Recherche de placements
Arrangement
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Conduite spécialisée d’émission et de placement d’obligations et d’actions.
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Conduite spécialisée d’introduction de sociétés en bourse.
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Conduite spécialisée d’offres publiques d’achats et ventes de titres.
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Conseils stratégiques (études de faisabilité, élaboration de la documentation juridique et financière nécessaire à la réalisation d’augmentation de capital et de placements de titres)
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Montages financiers et émission de Titres de Créances Négociables(TCN).
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Animation du marché secondaire (garantie de liquidité).
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Services financiers (paiement de coupons, de dividendes, remboursement de capital).
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Ingénierie Financière
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Etablissement et optimisation des montages de financements complexes (introduction en bourse, augmentation de capital…)
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Combinaison des instruments financiers variés (titres, prêts, dérivés de toutes natures),
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Création de véhicules de financement adaptés à un projet ou une opération donnée (financement de projets, titrisation de crédits, fusion-acquisition...), faisant souvent appel à plusieurs établissements financiers différents (pool de financement),
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Solution accordant une attention particulière tant à la limitation des risques financiers qu'à l'optimisation de la rentabilité.
Historique
Par le traité du 14 novembre 1974, sept (07) pays africains (Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Mali, Niger, Sénégal, Togo) créaient l’Union Monétaire Ouest Africaine (UMOA). A cette date, la mise en place d’un marché financier organisé était à l’ordre du jour. L’Union a été rejointe par un huitième pays (Guinée Bissau) en 1997.
C’est finalement en 1993 que le Conseil des Ministres de l’Union décidait effectivement de la mise en place d’un marché financier unique et commun à l’ensemble des pays de l’Union. A cet effet, la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) a été mandatée par le Conseil pour la conduite du projet portant création d’un marché financier.
Le 03 juillet 1996, le Conseil des Ministres adopte la convention portant création du Conseil Régional de l’Epargne Publique et des Marchés Financiers (CREPMF) dont l’installation des membres interviendra le 20 novembre 1997.
Par la suite, le règlement général relatif à l’organisation, au fonctionnement et au contrôle du Marché Financier Régional (MFR) est adopté par le Conseil des Ministres du 28 novembre 1997.
Mais auparavant, le 18 décembre 1996, la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM) et le Dépositaire Central / Banque de Règlement (DC/BR) sont constitués sous forme de sociétés anonymes à Cotonou au Bénin. C’est donc à la faveur de ce cadre réglementaire que la BRVM et la DC/BR démarrent effectivement leurs activités le 16 septembre 1998.
La Société Burkinabè d’Intermédiation Financière (S.B.I.F.) est une Société de Gestion et d’Intermédiation financière (SGI).
Elle est une intermédiaire financière entre les acteurs économiques (particuliers, entreprises privées, parapubliques, publiques, État), et la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières de l’UEMOA (B.R.V.M). A ce titre, elle bénéficie du monopole de la négociation des valeurs mobilières cotées à la B.R.V.M.
Au Burkina Faso, la Société Burkinabè d’Intermédiation Financière (S.B.I.F.) offre des services spécialisés aux opérateurs économiques (sociétés et particuliers) qui souhaitent :
– Acheter et vendre des actions ou obligations à la bourse,
– Étudier la faisabilité d’une introduction de leur entreprise en bourse,
– Lever des fonds pour financer leurs investissements à moindre coût,
– Placer leurs excédents de trésorerie à des taux très rémunérateurs.